J'ai trois mots à vous dire, le blog de Jean-Michel Seux, Conseiller général du Val-de-Marne.

Elu du canton de Vincennes Est, je vous invite à visiter les pages qui s'ouvrent devant vous. Composées d'informations pratiques, de billets d'humeur ou d'extraits du débat politique, elles ont pour objectif de rendre plus visibles - du moins, je l'espère - les actions menées au quotidien par vos conseillers généraux. Bienvenue !

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité



jeudi 23 avril 2009

Rien ne sert de courir, il faut débattre à point !




Communiqué de presse du groupe « Majorité présidentielle » du Conseil général du Val-de-Marne


Les élus du groupe « Majorité présidentielle » ne siègeront pas à la séance du Conseil général du 27 avril 2009 que le Président Christian Favier entend consacrer à un débat sur la réforme des institutions territoriales et le Grand Paris.

Jacques JP MARTIN, président du groupe Majorité Présidentielle au Conseil général du Val-de-Marne, communique :

Alors que nous étions demandeurs d’un débat constructif et éclairé sur la réforme des institutions territoriales, nous serons absents à la séance du 27 avril 2009.

En effet, nous avons fait savoir au Président du Conseil général qu’il était inopportun de programmer une telle séance deux jours avant l’intervention du Président de la République sur les orientations de l’Etat pour la Région Capitale. La déclaration du Chef de l’Etat va prendre en compte l’ensemble des travaux conduits par le Secrétaire d’Etat, Christian Blanc, qui prend en compte à la fois les travaux particulièrement intéressants des équipes mandatées par l’Elysée pour une réflexion prospective sur le Grand Paris ainsi que les multiples échanges du Secrétaire d’Etat avec les élus des territoires de projets.

Maintenir cette séance serait éluder la partie qui concerne le plus les Val de Marnais, à savoir, les perspectives d’évolution du Bassin Parisien.

Nous regrettons que le Président du Conseil général refuse notre demande de décaler de quelques jours ce débat auquel nous ne siègerons pas car prématuré.

Nous espérons que le Président du Conseil général acceptera de programmer une nouvelle séance en mai ou juin 2009, une fois les propositions de l’Etat connues sur le Grand Paris.

Nous restons dans l’attente d’une réponse pour un véritable échange sur la réforme des institutions territoriales et sur le devenir de notre Région en particulier.



Le groupe Majorité Présidentielle