J'ai trois mots à vous dire, le blog de Jean-Michel Seux, Conseiller général du Val-de-Marne.

Elu du canton de Vincennes Est, je vous invite à visiter les pages qui s'ouvrent devant vous. Composées d'informations pratiques, de billets d'humeur ou d'extraits du débat politique, elles ont pour objectif de rendre plus visibles - du moins, je l'espère - les actions menées au quotidien par vos conseillers généraux. Bienvenue !

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité



mercredi 24 mars 2010

Mars : le mois de l'apaisement dans trois quartiers de l’Est de Vincennes

Grandeur nature
Trois nouveaux secteurs de la ville doivent être prochainement transformés en espaces apaisés, pour faciliter la cohabitation des différents usagers de la route. Les aménagements envisagés ont fait l'objet d'expositions destinées aux riverains début mars...

lundi 22 mars 2010

Conclusion ?

http://www.vincennes-hebdo.fr
"L'exercice du pouvoir ne correspond pas aux attentes des Françaises et des Français, la pédagogie des réformes est clairement déficiente puisque nos concitoyens n'en perçoivent ni le sens ni la nécessité, l'organisation de la majorité ne permet pas, sous la forme actuelle, l'expression pleine et entière de la sensibilité centriste. C'est cette absence d'identification qui explique la large abstention des centristes aujoud'hui"
Laurent Lafon.

vendredi 19 mars 2010

Lettre aux habitants de Vincennes Est

A Vincennes, le 19 mars 2010

Madame, Monsieur, Chers amis,


Dimanche prochain aura lieu le second tour des élections régionales. Nous avons besoin de vous !

S’abstenir dimanche prochain, c’est voter pour la Gauche.

Contrairement à ce qu’affirment nos différents compétiteurs, cette élection n’est pas faite.

Vous le savez, ces élections sont capitales ; il nous faut sortir à la fois de l’immobilisme des régions gérées par la Gauche et de la folie fiscale que nous a imposée le Parti socialiste.

Il nous faut aussi en finir avec cette idée folle que les régions seraient des contre-pouvoirs au moment où notre pays a besoin que chacun se mobilise pour sortir de la crise.

Pour donner de vrais emplois aux jeunes, nos élus encourageront massivement l’apprentissage.

Pour lutter contre l’insécurité dans les transports, nous équiperons toutes les gares en caméras de vidéosurveillance. Pour protéger nos enfants, nous équiperons également tous les lycées.

Pour mettre un terme à la folie fiscale des socialistes, nous nous engageons à ne pas augmenter les impôts pendant toute la durée du mandat.

Pour protéger notre environnement, la Majorité présidentielle a fait le choix d’une écologie réaliste. En face, les Verts ne proposent qu’une écologie doctrinaire, qui met en danger nos agriculteurs et remet en cause notre indépendance nationale, en s’opposant à l’énergie nucléaire.

L’alliance électoraliste entre le PS, les Verts et les Communistes ne résistera pas longtemps à l’incohérence de leurs programmes : ils se mettent d’accord pour le partage des places mais condamnent notre région à l’immobilisme.

Dites-le autour de vous : voter pour le Front national au second tour, c’est assurer le maintien de la gauche dans les régions.

Votez et faites voter pour Laurent LAFON et la liste de la Majorité présidentielle !


Bien à vous


Jean-Michel Seux
Conseiller général de Vincennes-Est

mardi 16 mars 2010

En attendant la réforme des collectivités territoriales

Les 26 régions, telles que nous les connaitrons jusqu’à la réforme des collectivités territoriales, sont issues des lois Deferre de 1982. Complétée en 2004, cette décentralisation a transféré aux conseils régionaux de nombreuses compétences étatiques : développement économique, aménagement du territoire et organisation des transports, construction et fonctionnement des lycées publics, gestion des personnels non enseignants, apprentissage et formation continue, gestion des musées régionaux, conservation des archives, inventaire du patrimoine culturel.

Consultées lors de la détermination de la politique nationale d’aménagement du territoire, les régions élaborent le schéma régional d’aménagement et de développement du territoire (SRADT), qui fixe les orientations à moyen terme du développement durable du territoire régional. Il définit notamment les objectifs de localisation des grands équipements, des infrastructures et des services d’intérêt général.



Dans le même esprit, la région est en charge du plan régional d’élimination des déchets industriels. Certaines régions volontaires sont désormais compétentes en matière de création, d’aménagement, d’exploitation d’aérodromes civils et de ports. Les parcs nationaux, les observatoires ou agences de l’environnement sont du ressort régional.



La région élabore également le schéma régional des transports, elle organise les services de transport routier non urbain des personnes et est l’autorité organisatrice des transports ferroviaires de voyageurs, sauf en Ile-de-France où cette mission est assurée par le syndicat des transports d’Ile de France. De plus, la région peut contribuer au développement des réseaux de communication électronique ainsi qu’au développement de la recherche et du développement sur son territoire.



Enfin, la région détermine les priorités en matière d’habitat et participe financièrement à la politique du logement.

Source : Site global & local

lundi 15 mars 2010


les résultats à Vincennes
Différents modèles explicatifs et théories ont été proposés depuis longtemps pour comprendre ce que les spécialistes américains ont appelé le « puzzle » de l'abstention. L'ensemble de ces théories et modèles explicatifs s'inscrivent dans l'une ou l'autre des trois approches suivantes : Une approche sociologique, une approche psychosociologique, une approche économique
Analyse de Bruno Cautrès - chercheur CNRS membre du CEVIPOF (Sciences Pô) pour « Sciences Humaines le web » - lire


mardi 9 mars 2010

Crèches : le Conseil général cherche à masquer son désengagement !


L’annonce faite par le Conseil général d’un nouveau “Plan Crèches” pour le Val-de-Marne est pourtant alléchante : 1000 berceaux supplémentaires créés sur le département en quatre ans !

Comment ne pas se réjouir à l’idée de voir fondre le nombre de demandes insatisfaites (environ 3300) et traiter – enfin, en partie – la problématique parfois insoluble à laquelle sont confrontés tant et tant de jeunes parents ?

Hélas, si la communication est séduisante, le tour de passe-passe du Conseil général cache une toute autre vérité…

En dehors des crèches privées ou d’entreprise, deux types de crèches publiques existent dans le Val-de-Marne, représentant 75% des berceaux : Les crèches départementales et les crèches municipales. Pour les 6 crèches départementales de notre circonscription gérées directement par le Conseil général, rien ne changera, ni réduction, ni développement. Par contre, pour les 19 crèches municipales, les halte-garderie et les crèches familiales, la subvention de fonctionnement du Conseil général de 13 millions d’euros annuels va disparaître progressivement d’ici 2012, laissant sans aucune concertation les communes orphelines de cette somme.

Désengagement total donc de l’aide pour les crèches communales afin de réutiliser une partie des fonds pour la création de 1000 nouveaux berceaux. Oui mais où et comment ?

Il s’agit en fait d’une nouvelle aide à l’investissement pour accompagner les communes qui construisent de nouvelles crèches. Mais cette aide est conditionnée aux critères sociaux de la ville ; par exemple celles qui ont plus de 40% de logements sociaux et dont l’indice DSU (indice de richesse de la ville et de ses habitants) indique un grand besoin social, bénéficieront d’une aide de 8000€ par nouveau berceau. Alors que celles qui ont moins de 20% de logements sociaux et un faible besoin social n’auront que 3000€, ce qui les sanctionnera fortement et empêchera finalement toute création.

Alors que les nouvelles dispositions législatives pour la petite enfance permettaient d’entrevoir la possibilité d’étendre les capacités d’accueil dans les crèches, le Conseil général sanctionne donc fortement certaines villes, Saint-Mandé et Vincennes par exemple, dans leur politique de petite enfance, coupables certainement de ne pas partager les mêmes convictions politiques. Pour ma part, j’ai bien du mal à masquer une certaine colère !


mercredi 3 mars 2010

Etre Conseiller général aujourd'hui...

http://apaenquete.sante.gouv.fr/apaenq/indicateur.do


C'est d'abord exercer la COMPETENCE des compétences du Conseil général



L'aide sociale en quelques chiffres nationaux...



En 2008, les compétences des départements en matière d’aide sociale recouvrent l’aide sociale aux personnes âgées, aux personnes handicapées, à l’enfance et les dépenses liées au RMI. En 2008, les dépenses totales nettes d’aide sociale s’élèvent à 27,4 milliards d’euros, dont 25,9 milliards pour la France métropolitaine et 1,5 milliard pour les départements d’outre-mer (DOM).Avec 6,3 milliards d’euros en France métropolitaine, les dépenses totales nettes liées au RMI,aux CI-RMA, aux contrats d’avenir et au RSA expérimental représentent 27 % des quatre grandes catégories de dépenses. Elles ont diminué de 4,2 %, en euros constants, en 2008 par rapport à 2007.Les dépenses nettes destinées aux personnes âgées, deuxième poste de dépenses, ont progressé de 3,0 % en euros constants sur la même période, tirées par la progression du nombre de bénéficiaires (+4,8 %). Ces dépenses s’élèvent à 6,1 milliards d’euros en 2008. Les dépenses nettes d’aide sociale à l’enfance, qui concernent pour moitié les dépenses correspondant aux placements en établissement, ont atteint 5,9 milliards d’euros, soit 2,3 % de plus qu’en 2007 en euros constants. Enfin, les dépenses d’aide sociale en faveur des personnes handicapées ont augmenté de 5,8 % en euros constants, soutenues principalement par la progression des dépenses relatives à l’accueil, pour s’établir à 4,7 milliards d’euros en 2008. L’évolution et la structure des dépenses d’aide sociale varient selon les départements.



Edito du blog