J'ai trois mots à vous dire, le blog de Jean-Michel Seux, Conseiller général du Val-de-Marne.

Elu du canton de Vincennes Est, je vous invite à visiter les pages qui s'ouvrent devant vous. Composées d'informations pratiques, de billets d'humeur ou d'extraits du débat politique, elles ont pour objectif de rendre plus visibles - du moins, je l'espère - les actions menées au quotidien par vos conseillers généraux. Bienvenue !

Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité



samedi 27 février 2010

Coup de projecteur sur la conjoncture

http://www.crocis.ccip.fr/document-1-2-conjoncture-departementale.html
La détérioration du niveau de l'emploi a été plus importante ces derniers mois en Ile-de-France que pour le reste du pays. Ainsi, si, sur la France entière, le taux de chômage est resté parfaitement inchangé d'un trimestre à l'autre, il a encore augmenté de 0,2 point entre le 2ème et le 3ème trimestres (à 7,9 % en moyenne sur l'ensemble du trimestre). Cette augmentation qui est certes limitée par rapport aux premiers trimestres de 2009 (+ 0,5 point puis + 0,4 point) ne doit pas cacher les difficultés persistantes des entreprises ; dans tous les secteurs, celles-ci attendent des signes de reprise durable et surtout plus soutenue. La démographie des entreprises en témoigne : le nombre de créations d'entreprises a continué à bénéficier de l'auto-entreprenariat mais les nouvelles entités créées en dehors de ce statut ont accusé un repli de 20 % par rapport au 3ème trimestre 2008 ; de même, après deux trimestres de baisse, les défaillances d'entreprises sont ressorties en légère hausse (+ 1,7 %)... > conjoncture départementale
Source CROCIS-CCIP

mercredi 24 février 2010

Une fois par siècle


le dossier complet le dossier complet

Le 28 janvier 1910, le niveau de l’eau atteignait 8,62 m à l’échelle de Paris-Austerlitz, causant des dommages considérables dans de nombreuses villes du bassin de la Seine mais pratiquement aucune victime. Par son ampleur et ses conséquences, la crue de 1910 est aujourd’hui l’événement de référence pour la prévention durisque inondation...

Depuis plus de dix ans, je représente le Val-de-Marne au sein de l'Institution Interdépartementale des Barrages-Réservoirs du Bassin de la Seine :http://www.iibrbs.fr/




En images: tout sur l'histoire de la grande crue



samedi 20 février 2010

Un Val-de-Marnais à Vancouver

le skeletonFonctionnaire au ministère des sports, chargé de mission sur le sport de haut niveau à l’Institut national du sport et de l’éducation physique (Insep), Grégory Saint-Génies est un Val-de-marnais pur jus. A 32 ans, ce père de deux enfants, habite depuis, 1988, à Limeil-Brévannes. « J’ai toujours vécu en Val-de-Marne, c’est un département que j’aime beaucoup et auquel je suis très attaché. C’est vraiment agréable d’y vivre », confie-t-il.
Cet athlète, d’1,75 m pour 69 kg, a découvert le skeleton un peu par hasard. Pendant dix ans, il a pratiqué l’aviron au club de Joinville-le-Pont. « Au bout d’un moment, indique-t-il, j’ai eu envie de m’orienter vers un autre sport. Quelque chose de plus fun, mais avec la même sensation de glisse que sur l’eau. » Glisse, mais également grosses envies de vitesse. Il s’est tout d’abord essayé au bobsleigh… Pas le gabarit adéquat. On lui a donc conseillé le skeleton.
Késako ? Ce sport, relativement confidentiel, est une discipline individuelle qui, comme le bobsleigh, se pratique dans une piste de glace (1 200 m) étroite en descente. Le skeletonneur est sur une planche (de 80 à 120 cm et d’une 30e de kg) ressemblant à la luge sportive mais il se place sur son engin à plat ventre, la tête en avant. Les vitesses atteintes durant la descente sont de l’ordre de 120 à 140 km / h en fonction de la piste. Dans certains virages, le pilote peut subir jusqu’à 5 G d’accélération.
Source
http://www.cg94.fr/

jeudi 18 février 2010

Réforme des collectivités territoriales : les parlementaires suivent leur petit bout de chemin

L’architecture législative de cette réforme majeure repose désormais sur quatre textes de loi :

I/ Le premier projet de loi a été définitivement voté à l’Assemblée nationale par 325 voix contre 216 afin d’être appliqué lors des régionales de mars. Il modifie la durée des mandats des conseillers régionaux élus en 2010 et conseillers généraux élus en 2011 pour que la cessation de fonction coïncide avec la création des conseillers territoriaux qui doivent les remplacer en 2014.
II/ Le deuxième projet de loi portant « réforme des collectivités territoriales » vient d’être examiné au Sénat.
Il prévoit : La création des conseillers territoriaux en remplacement des conseillers généraux et régionaux. L’article 1 créant ce nouvel élu a été adopté à une courte majorité (174 voix contre 156) au terme de longues heures de débat. Les conseillers territoriaux siègeront à la fois au titre du département et de la région et seront 3000 au lieu des 6000 actuels conseillers généraux et régionaux. La répartition territoriale, les compétences et le mode d’élection des conseillers doit être défini dans deux projets de loi ultérieurs.
La création de métropoles et pôles métropolitains. Ceux-ci seront représentés par des conseillers communautaires, élus au suffrage universel direct. Ces conseillers communautaires sont en effet les représentants des communes qui siègent dans les conseils des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre dont les futures métropoles. Leur élection aura lieu dans le cadre des élections municipales par un système de « fléchage » amenant les premiers de liste à siéger au conseil municipal et au conseil communautaire, afin de ne pas créer une nouvelle circonscription intercommunal
La possibilité de fusion de départements, de régions, mais il faudra l’accord de toutes les assemblées concernées et de la population consultée par référendum puisque le Sénat a alourdit le processus.
L'achèvement de la carte des intercommunalités.Le préfet doit arrêter au 31 décembre 2011 le schéma départemental de coopération intercommunal élaboré par les représentants des collectivités afin de permettre l’adhésion de toutes les communes de France à une structure intercommunale au 1er janvier 2014.
Le cadrage de la loi à venir sur la clarification des compétences permettra à l’élu territorial de gérer au mieux – et sans doublon- les intérêts du territoire sur lequel il sera élu. C’est, par exemple, le même élu qui s’occupera des collèges et lycées de son territoire, et non deux interlocuteurs différents, conseiller général et conseiller régional.
III/ Le troisième projet de loi « relatif à l’élection des conseillers territoriaux et au renforcement de la démocratie locale, prévoit le mode de scrutin des conseillers territoriaux ainsi que l’élection des représentants des communes auprès des intercommunalités. Ce débat devrait être abordé après les élections régionales. Il est passionnel puisqu’il tourne autour de l’application d’une certaine dose de proportionnelle.

IV/ Le quatrième projet de loi organique « relatif à l’élection des membres des conseils des collectivités territoriales et des établissements publics de coopération intercommunale », prévoit des dispositions modifiant le code électoral en particulier l’abaissement de 3500 à 500 du seuil de population des communes auxquelles est applicable le scrutin de liste.

D’autres projets de loi viendront compléter à l’avenir ces dispositifs en particulier un projet de loi « clarification des compétences ». A SUIVRE ...
Source : newsletter de Jacques Dominati (Sénateur)

mercredi 17 février 2010

Une mesure en faveur du logement loin de passer inaperçue



Vincennes a signé avec l'APAGL (association pour l'accès aux garanties locatives) un accord de partenariat pour la mise en œuvre du nouveau dispositif de garantie des risques locatifs (GRL) mis en place depuis le 26 décembre 2009.

Il faut savoir que 5% des logements de la ville, soit 1.300 logements, ont été identifiés en 2008 comme vacants depuis plus d'une année. Une situation malheureusement partagée par bon nombre de villes en Ile-de-France. Vincennes prend donc en charge, à compter de ce 10 février, pour les 2 premières années de location les frais d'assurance normalement payés par le propriétaire louant à des locataires dont le taux d'effort est supérieur à 28%. L'objectif que s’est fixé la ville de Vincennes, l'APAGL et CIL Logeo (organisme collecteur du 1% logement) est la remise sur le marché de 70 logements par an.


Pour inciter les propriétaires à remettre leur logement sur le marché locatif, la ville de Vincennes a déjà pris plusieurs initiatives :

- la mise en œuvre d'une OPAH (Opération Programmée d'Amélioration de l'Habitat ) sur le centre ancien, après celle menée sur le quartier ouest, pour aider les propriétaires ne disposant pas de moyens suffisants à réaliser des travaux de réhabilitation ; des subventions sont versées par l'ANAH, la Ville et d'autres partenaires ;

- la mise en œuvre d'un PST (Programme Spécial Thématique) sur l'ensemble de la ville pour aider les propriétaires à la remise en état de leurs logements, avec comme condition, le conventionnement du logement en logement social ; là encore, des subventions sont versées par l'ANAH et la Ville.

A suivre...

mercredi 10 février 2010

Villes du bois de Vincennes : Que la nature soit bien faite !

Grandeur nature


Vincennes en route vers une intercommunalité à fiscalité propre...

Merci Catherine Procaccia !






vendredi 5 février 2010

La sécutité... ça compte aussi pour les Franciliens !

Une équipe de choc Hier soir à Maisons-Alfort... la candidate a, une nouvelle fois, mis le doigt là où ça fait mal.

Agression d’un élève à Vitry-sur-Seine : la région et le département en faute.

Valérie Pécresse fait part de son émotion après l’agression dont a été victime un élève du lycée Adolphe-Chérioux de Vitry-sur-Seine. Ses pensées vont d’abord à la jeune victime, à sa famille ainsi qu’à l’ensemble de la communauté éducative, choquée par cette nouvelle irruption de la violence dans le cadre scolaire.

Elle souligne la nécessité de prendre des mesures énergiques pour sécuriser les abords des lycées, afin d’empêcher les intrusions. Le recours à la vidéoprotection pour sanctuariser le périmètre des lycées doit être soutenu chaque fois qu’il apparaît utile.

En mai dernier, un diagnostic de sécurité avait montré que la sécurité des élèves, des professeurs et des personnels n’était plus assurée, faute de clôture pour empêcher les personnes extérieures à l’établissement de s’y introduire.

Depuis lors, ni le département ni la région, pourtant compétents pour agir, n’ont pris les mesures nécessaires pour garantir la sécurité et la tranquillité de tous. Par leur passivité, ils ont manqué à leurs responsabilités et se trouvent aujourd’hui en faute.

Valérie Pécresse demande au Président de la région d’engager au plus vite, et sans attendre la première commission permanente de la prochaine mandature, l’ensemble des investissements de sécurité qui ont été différés pour ce lycée et ceux qui l’auraient été pour d’autres établissements, afin d’éviter que de tels faits ne viennent à se reproduire.

Elle réitère sa proposition de recruter dès 2010 5 000 surveillants-tuteurs régionaux dans les lycées d’Île-de-France, en utilisant les crédits correspondants aux 5 000 emplois-tremplins que les Socialistes et les Verts ne sont pas parvenus à créer.
Alors que l’Education nationale a recruté de son côté 3 800 médiateurs de la vie scolaire cette année , la région Île-de-France pourrait ainsi, dans le cadre de ses compétences, renforcer l’encadrement dans les lycées. Cela permettrait d’utiliser efficacement les crédits prévus pour le dispositif des « emplois-tremplins », qui n’a jamais réellement atteint ses objectifs.

Valérie Pécresse